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Titre : Le Roi-machine : spectacle et politique au temps de Louis XIV Type de document : livre Auteurs : Jean-Marie Apostolidès (1944-....), Auteur Editeur : Paris : Éd. de Minuit Année de publication : 1981 Collection : Arguments Importance : 164 p. Présentation : couv. ill. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-7073-0601-0 Prix : 29,91 F Note générale : Revue de presse sur le site de l'éditeur : http://www.leseditionsdeminuit.fr/f/index.php?sp=liv&livre_id=1911 Langues : Français (fre) Catégories : 17e siècle ; Arts et politique ; Cour et courtisans ; Histoire ; Louis XIV (roi de France ; 1638-1715) ; Monarchie ; Pouvoir (philosophie) ; Spectacles et divertissements Index. décimale : 100 Essais Résumé : La minorité privilégiée issue des trois ordres, bénéficiaire de l’accumulation primitive du capital, ne s’est pas pensée comme une classe pendant le règne de Louis XIV : elle constitue une nation, incarnée dans le corps du monarque. Celui-ci est l’intermédiaire obligé par lequel s’énonce tout pouvoir et tout savoir.
Les arts, contrôlés par l’État, sont mis à contribution pour rendre tangible l’imaginaire de ce corps symbolique. Metteur en scène de la représentation, roi machiniste qui fait de Versailles un décor permanent, Louis XIV engendre des courtisans qui, doués d’une sensibilité et d’un langage spéciaux, évoluent comme des satellites autour d’un astre lumineux.
Mais la politique et l’économie, en s’autonomisant, acquièrent une puissance qui n’est plus contrôlable par un seul homme. Le rapport entre privé et symbolique s’en trouve modifié et l’inorganique envahit le corps du roi. Le prince se change dès lors en roi-machine tandis que la place royale est peu à peu investie par l’administration. (résumé de l'éditeur)Note de contenu : ‑‑‑‑‑ Table des matières ‑‑‑‑‑
Introduction
Première partie : Le roi machiniste
Chapitre I : Le corps du roi – Chapitre II : L’organisation de la culture – Chapitre III : L’homme de cour – Chapitre IV : La mythistoire – Chapitre V : Les plaisirs de l’île enchantée – Chapitre VI : L’avènement de l’Histoire
Deuxième partie : Le roi-machine
Chapitre I : La fixation de l’image – Chapitre II : Le fonctionnement spectaculaire
Conclusion
En ligne : http://www.leseditionsdeminuit.fr/f/index.php?sp=liv&livre_id=1911 Permalink : https://esbanimes.centredoc.fr/index.php?lvl=notice_display&id=1739
Apostolidès Jean-Marie, Le Roi-machine : spectacle et politique au temps de Louis XIV, Paris, Éd. de Minuit, Coll. « Arguments », 1981.
Résumé : La minorité privilégiée issue des trois ordres, bénéficiaire de l’accumulation primitive du capital, ne s’est pas pensée comme une classe pendant le règne de Louis XIV : elle constitue une nation, incarnée dans le corps du monarque. Celui-ci est l’intermédiaire obligé par lequel s’énonce tout pouvoir et tout savoir.
Les arts, contrôlés par l’État, sont mis à contribution pour rendre tangible l’imaginaire de ce corps symbolique. Metteur en scène de la représentation, roi machiniste qui fait de Versailles un décor permanent, Louis XIV engendre des courtisans qui, doués d’une sensibilité et d’un langage spéciaux, évoluent comme des satellites autour d’un astre lumineux.
Mais la politique et l’économie, en s’autonomisant, acquièrent une puissance qui n’est plus contrôlable par un seul homme. Le rapport entre privé et symbolique s’en trouve modifié et l’inorganique envahit le corps du roi. Le prince se change dès lors en roi-machine tandis que la place royale est peu à peu investie par l’administration. (résumé de l'éditeur)Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 000001183 100 APO Livre Bibliothèque de l'Esban Culture générale Disponible Survivance des lucioles / Georges Didi-Huberman (2009)
Titre : Survivance des lucioles Type de document : livre Auteurs : Georges Didi-Huberman (1953-....), Auteur Editeur : Paris : Éd. de Minuit Année de publication : 2009 Collection : Paradoxe Importance : 141 p. Format : 19 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7073-2098-8 Langues : Français (fre) Catégories : Image (philosophie) ; Pouvoir (philosophie) Index. décimale : 100 Essais Résumé : Dante a, autrefois, imaginé qu'au creux de l'Enfer, dans la fosse des « conseillers perfides », s’agitent les petites lumières (lucciole) des âmes mauvaises, bien loin de la grande et unique lumière (luce) promise au Paradis. Il semble bien que l’histoire moderne ait inversé ce rapport : les « conseillers perfides » s’agitent triomphalement sous les faisceaux de la grande lumière (télévisuelle, par exemple), tandis que les peuples sans pouvoir errent dans l’obscurité, telles des lucioles.
Pier Paolo Pasolini a pensé ce rapport entre les puissantes lumières du pouvoir et les lueurs survivantes des contre-pouvoirs. Mais il a fini par désespérer de cette résistance dans un texte fameux de 1975 sur la disparition des lucioles. Plus récemment, Giorgio Agamben a donné les assises philosophiques de ce pessimisme politique, depuis ses textes sur la « destruction de l’expérience » jusqu’à ses analyses du « règne » et de la « gloire ».
On conteste ici ce pronostic sans recours pour notre « malaise dans la culture ». Les lucioles n’ont disparu qu’à la vue de ceux qui ne sont plus à la bonne place pour les voir émettre leurs signaux lumineux. On tente de suivre la leçon de Walter Benjamin, pour qui déclin n’est pas disparition. Il faut « organiser le pessimisme », disait Benjamin. Et les images — pour peu qu’elles soient rigoureusement et modestement pensées, pensées par exemple comme images-lucioles — ouvrent l’espace pour une telle résistance.Note de contenu : TABLE
I
ENFERS ?
Grande lumière (luce) paradisiaque versus petites lumières (lucciole) dans la bolge infernale des
« conseillers perfides » (3). — Dante mis sens dessus dessous aux temps de la guerre moderne (5). — Un
jeune homme, en 1941, découvre dans les lucioles les lueurs du désir et de l’innocence (7). — Une
question politique : Pier Paolo Pasolini en 1975, le néofascisme et la disparition des lucioles (11). — Le
peuple, sa résistance, sa survivance, détruits par une nouvelle dictature (16). — L’enfer réalisé ?
L’apocalypse pasolinienne réprouvée, éprouvée, approuvée, renchérie aujourd’hui (20).
II
SURVIVANCES
Les lucioles ont-elles toutes disparu ou bien survivent-elles malgré tout ? L’expérience poético-visuelle de
l’intermittence chez Denis Roche : réapparaître, redisparaître (24). — Lumières mineures :
déterritorialisées, politiques, collectives. Le désespoir politique et sexuel de Pasolini. Pas de communauté
vivante sans phénoménologie de sa présentation : le geste lumineux des lucioles (28). — Walter Benjamin
et les images dialectiques. Toute façon d’imaginer est une façon de faire de la politique. Politique des
survivances : Aby Warburg et Ernesto De Martino (32).
III
APOCALYPSES ?
Interroger le contemporain à travers des paradigmes et une archéologie philosophique : Giorgio Agamben
avec Pasolini (38). — La « destruction de l’expérience » : apocalypse, deuil de l’enfance. Entre
destruction et rédemption (41). — Critique du ton apocalyptique par Jacques Derrida, et de l’impensé de
la résurrection par Theodor Adorno (45). — Il n’y a, pour une théorie des survivances, ni destruction
radicale ni rédemption finale. Image versus horizon (49).
IV
PEUPLES
Lumières du pouvoir versus lueurs des contre-pouvoirs : Carl Schmitt versus Benjamin. Agamben au-delà
de toute séparation (53). — Totalitarisme et démocratie selon Agamben via Schmitt et Guy Debord : de
l’acclamation à l’opinion publique. Les peuples réduits à l’unification et à la négativité (56). —
L’archéologie philosophique, selon Benjamin, exige la « rythmique » des coups et des contre-coups, des
acclamations et des révolutions (63).
V
DESTRUCTIONS ?
Image versus horizon : la lueur dialectique « franchit l’horizon » de façon intermittente (69). —
Ressources de l’image versus horizons sans ressource. Déclin n’est pas disparition. Déclinaison,
incidence, bifurcation (72). — L’inestimable versus la dévaluation. La temporalité impure du désir versus
les temps sans recours de la destruction et de la rédemption. Faire apparaître des mots, des images (76).
VI
IMAGES
Faire apparaître des rêves : Charlotte Beradt ou le savoir-luciole. Témoignage et prévision. L’autorité du
mourant (80). — Retraits dans l’obscurité, lueurs. Georges Bataille dans la guerre : fêlure, érotisme,
expérience intérieure. Élucidation politique et non-savoir (84). — L’indestructible, la communauté qui
reste : Maurice Blanchot. Parcelles d’humanité dans la « brèche entre le passé et le futur » : Hannah
Arendt et la « force diagonale » (90). Lumière des règnes versus lueurs des peuples. Les images-lucioles
de Laura Waddington. Organiser le pessimisme (94).Permalink : https://esbanimes.centredoc.fr/index.php?lvl=notice_display&id=7837
Didi-Huberman Georges, Survivance des lucioles, Paris, Éd. de Minuit, Coll. « Paradoxe », 2009.
Résumé : Dante a, autrefois, imaginé qu'au creux de l'Enfer, dans la fosse des « conseillers perfides », s’agitent les petites lumières (lucciole) des âmes mauvaises, bien loin de la grande et unique lumière (luce) promise au Paradis. Il semble bien que l’histoire moderne ait inversé ce rapport : les « conseillers perfides » s’agitent triomphalement sous les faisceaux de la grande lumière (télévisuelle, par exemple), tandis que les peuples sans pouvoir errent dans l’obscurité, telles des lucioles.
Pier Paolo Pasolini a pensé ce rapport entre les puissantes lumières du pouvoir et les lueurs survivantes des contre-pouvoirs. Mais il a fini par désespérer de cette résistance dans un texte fameux de 1975 sur la disparition des lucioles. Plus récemment, Giorgio Agamben a donné les assises philosophiques de ce pessimisme politique, depuis ses textes sur la « destruction de l’expérience » jusqu’à ses analyses du « règne » et de la « gloire ».
On conteste ici ce pronostic sans recours pour notre « malaise dans la culture ». Les lucioles n’ont disparu qu’à la vue de ceux qui ne sont plus à la bonne place pour les voir émettre leurs signaux lumineux. On tente de suivre la leçon de Walter Benjamin, pour qui déclin n’est pas disparition. Il faut « organiser le pessimisme », disait Benjamin. Et les images — pour peu qu’elles soient rigoureusement et modestement pensées, pensées par exemple comme images-lucioles — ouvrent l’espace pour une telle résistance.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 000008906 100 DID Livre Bibliothèque de l'Esban Culture générale Disponible Louis Marin. Événements de contemporanéité et autres écrits sur l'art au XXe siècle / Louis Marin (DL 2021)
Titre : Louis Marin. Événements de contemporanéité et autres écrits sur l'art au XXe siècle Type de document : livre Auteurs : Louis Marin (1931-1992), Auteur ; Angela Mengoni, Directeur de publication ; Xavier Vert, Directeur de publication ; Bénédicte Duvernay (1987-....), Collaborateur ; Giacomo Fuk, Collaborateur Editeur : Dijon : les Presses du réel Année de publication : DL 2021 Collection : Oeuvres en sociétés, ISSN 1958-962X Importance : 1 vol. (375 p.) Présentation : ill. en coul. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-37896-001-8 Prix : 30 EUR Note générale : Recueil d'un ensemble de textes consacrés à l'art et à ses enjeux au XXe siecle, fruit d'un séminaire animé par les éditeurs ainsi que par Bénédicte Duvernay et Giacomo Fuk. Le projet a bénéficié d'une subventiondu Labex CAP - Création, Arts et Patrimoines. Langues : Français (fre) Catégories : Idéologie et art ; Marin, Louis (1931-1992) ; Mélanges et hommages ; Pouvoir (philosophie) ; Représentation (philosophie) Index. décimale : 709.04 20e siècle : 1900-1999 Résumé : Connu pour ses recherches sur les pouvoirs de l'image à l'âge classique et la figurabilité du mystère dans la peinture chrétienne, Louis Marin s'est aussi et passionnément intéressé à la culture visuelle de son temps. Le présent recueil met à disposition l'essentiel des contributions de l'auteur à la pensée de l'art au XXe siècle, jusque-là dispersées et souvent difficilement accessibles. Le trait de leur conjonction n'est cependant pas de simple pertinence chronologique, il réside plus profondément dans une exploration des « événements de contemporanéité », à la faveur desquels les images du présent et du passé entrent dans une « communauté temporelle ». À cet égard, l'art moderne et contemporain, loin de désigner le moment d'une crise dans le système de la représentation longuement étudié par Louis Marin, devient plutôt le lieu de son analyse, comme il en révèle les dynamiques figurales « entre forme et forces, entre visible et visuel, entre figurativité et figurabilité ». C'est en lisant Rembrandt à travers De Kooning et réciproquement, en repérant dans la cartographie de Disneyland les transformations de l'Utopia de Thomas More, c'est en concevant la matérialité de la peinture de Klee comme une origine a-chronologique, c'est en empruntant bien d'autres trajectoires du regard et des signes, que nous sommes appelés par Louis Marin à un voyage dans une histoire de « co-temporalités » inattendues, ce qu'il nomme ici « logique indéterministe de l'histoire de l'art ». Permalink : https://esbanimes.centredoc.fr/index.php?lvl=notice_display&id=14253
Marin Louis, Mengoni Angela, Vert Xavier, et al., Louis Marin. Événements de contemporanéité et autres écrits sur l'art au XXe siècle, Dijon, les Presses du réel, Coll. « Oeuvres en sociétés », DL 2021.
Résumé : Connu pour ses recherches sur les pouvoirs de l'image à l'âge classique et la figurabilité du mystère dans la peinture chrétienne, Louis Marin s'est aussi et passionnément intéressé à la culture visuelle de son temps. Le présent recueil met à disposition l'essentiel des contributions de l'auteur à la pensée de l'art au XXe siècle, jusque-là dispersées et souvent difficilement accessibles. Le trait de leur conjonction n'est cependant pas de simple pertinence chronologique, il réside plus profondément dans une exploration des « événements de contemporanéité », à la faveur desquels les images du présent et du passé entrent dans une « communauté temporelle ». À cet égard, l'art moderne et contemporain, loin de désigner le moment d'une crise dans le système de la représentation longuement étudié par Louis Marin, devient plutôt le lieu de son analyse, comme il en révèle les dynamiques figurales « entre forme et forces, entre visible et visuel, entre figurativité et figurabilité ». C'est en lisant Rembrandt à travers De Kooning et réciproquement, en repérant dans la cartographie de Disneyland les transformations de l'Utopia de Thomas More, c'est en concevant la matérialité de la peinture de Klee comme une origine a-chronologique, c'est en empruntant bien d'autres trajectoires du regard et des signes, que nous sommes appelés par Louis Marin à un voyage dans une histoire de « co-temporalités » inattendues, ce qu'il nomme ici « logique indéterministe de l'histoire de l'art ».Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 000024305 709.04 MAR Livre Bibliothèque de l'Esban Ecrits sur l'art Disponible Des pouvoirs de l'image / Louis Marin (DL 1993, cop. 19)
Titre : Des pouvoirs de l'image : gloses Type de document : livre Auteurs : Louis Marin (1931-1992), Auteur Editeur : Paris : Éd. du Seuil Année de publication : DL 1993, cop. 19 Collection : L'ordre philosophique Importance : 1 vol. (265 p.) Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-02-018964-X Prix : 24 EUR Catégories : Image (philosophie) ; Imaginaire ; Perception des images ; Philosophie et littérature ; Pouvoir (philosophie) ; Représentation (philosophie) Index. décimale : 100 Essais Résumé : "Sous le titre "Des pouvoirs de l'image" s'affirme le projet de reconnaître, dans sa diversité historique et anthropologique, l'efficacité de l'image, les régimes et les registres variés de ses pouvoirs : forces des fétiches et des leurres dans la constitution et l'identification du Moi ; puissance du "faire-croire" dans les représentations du pouvoir d'État ; prégnances irrésistibles de l'invisible dans les théophanies de la lumière et de la voix. Des textes qui, pour la plupart, appartiennent à l'âge de la représentation sont ici lus et récrits selon le genre de la glose : lectures, récritures qui les déplacent et les "ouvrent" sur un objet qui se dérobe et dont pourtant ils ne cessent de parler et d'écrire : l'image." Note de contenu : Table
Introduction
L'être de l'image et son efficace
I. Les pouvoirs de l'image et la position du moi
Glose 1. La séduction du miroir
La Fontaine, "L'homme est son image", apologue, livre I, fable XI.
Entreglose 1. L'image travestie
Jean-Jacques Rousseau, "Narcisse ou l'amant de lui-même", comédie en un acte, 1752.
Glose 2. La peur de l'idole
La Fontaine, "Le statuaire et la statue de Jupiter", livre IV, fable VI.
Entreglose 2. Le descripteur fantaisiste
Diderot, "Salon de 1765, Casanove, n°94, 'Une marche d'armée'", description.
Glose 3. "Moi ... c'est encore moi"
Jean-Jacques Rousseau, "Pygmalion", scène lyrique, 1772.
II. Les pouvoirs généalogiques et politiques de l'image
Glose 4. Amours paternelles
Charles Perrault, "Peau d'Asne", conte.
Entreglose 3. La tête coupée
Corneille, "La mort de Pompée", tragédie
Glose 5. Le portrait-du-roi en auteur
Jacques 1er d'Angleterre, le "Basilikon Dôron", sonnet, 1599-1603
Entreglose 4. Le portrait du poète en roi
William Shakespeare, "La tempête", acte I, scènes 1 et 2 (1611)
Glose 6. Le portrait-du-roi naufragé
Pascal, "Premier discours sur la condition des Grands", parabole
III. Les puissances imaginables de la lumière et de l'ombre
Glose 7. Le fils dans le sein du père
Évangile selon saint Jean, prologue, 1-18
Entreglose 5. Dans la lumière du vitrail
Abbé Suger, "Sancti Dionysii liber De rebus in administratione sua gestis"
Glose 8. La transfiguration
Vision
Entreglose 6. Transfiguration - Défiguration
Giorgio Vasari, "Les vies des meilleurs peintres, sculpteurs et architectes" (1550-1568)
Glose 9. La réversion de l'ombre et de la lumière
Friedrich Nietzsche, "La naissance de la tragédie", chapitres IV, XXIV, XXV.Permalink : https://esbanimes.centredoc.fr/index.php?lvl=notice_display&id=10729
Marin Louis, Des pouvoirs de l'image : gloses, Paris, Éd. du Seuil, Coll. « L'ordre philosophique », DL 1993, cop. 19.
Résumé : "Sous le titre "Des pouvoirs de l'image" s'affirme le projet de reconnaître, dans sa diversité historique et anthropologique, l'efficacité de l'image, les régimes et les registres variés de ses pouvoirs : forces des fétiches et des leurres dans la constitution et l'identification du Moi ; puissance du "faire-croire" dans les représentations du pouvoir d'État ; prégnances irrésistibles de l'invisible dans les théophanies de la lumière et de la voix. Des textes qui, pour la plupart, appartiennent à l'âge de la représentation sont ici lus et récrits selon le genre de la glose : lectures, récritures qui les déplacent et les "ouvrent" sur un objet qui se dérobe et dont pourtant ils ne cessent de parler et d'écrire : l'image."Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 000021364 100 MAR Livre Bibliothèque de l'Esban Culture générale Disponible Documents numériques
Portrait de Louis Marin dans l'UniversalisURL
RecensionURL Société réaliste / Jozsef Nielyi (2011)
Titre : Société réaliste : empire, state, building Type de document : livre Auteurs : Jozsef Nielyi, Auteur ; Giovanna Zapperi, Auteur ; Olivier Schefer, Auteur Editeur : Paris : Ed. Amsterdam Année de publication : 2011 Autre Editeur : Paris : Éd. du Jeu de paume Importance : 229 p. Présentation : ill. en noir Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-35480-086-4 Note générale : Index Langues : Français (fre) Catégories : Architecture et arts ; Arts et politique ; Écriture -- Dans l'art ; Philosophie et art ; Pouvoir (philosophie) ; Société réaliste ; Typographie Index. décimale : 709.2 Monographies d'artistes et catalogues d'expositions individuelles. Exposition 1 : Exposition. Paris, Jeu de Paume. 2011 Permalink : https://esbanimes.centredoc.fr/index.php?lvl=notice_display&id=8551
Nielyi Jozsef, Zapperi Giovanna, Schefer Olivier, Société réaliste : empire, state, building, Paris, Ed. Amsterdam, 2011. Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 000009647 709.2 SOC Livre Bibliothèque de l'Esban Artistes Disponible