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Auteur Bernard Stiegler |
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Jean-Marc Cerino / Jean-Marc Cerino (2006)
Titre : Jean-Marc Cerino : Dépositions III Type de document : livre Auteurs : Jean-Marc Cerino, Auteur ; Bernard Stiegler, Auteur ; Philippe Hervouet, Photographe Année de publication : 2006 Importance : n. p. Présentation : ill. en coul. Format : 16 x 24 cm Note générale : Réalisé dans le cadre du projet "Artiste en résidence" à la Maison d'arrêt de la Talaudière Langues : Français (fre) Catégories : Cerino, Jean-Marc (1965-....) Index. décimale : 709.2 Monographies d'artistes et catalogues d'expositions individuelles. Exposition 1 : Exposition. Saint-Etienne. 2006-2007 Permalink : https://esbanimes.centredoc.fr/index.php?lvl=notice_display&id=2256
Cerino Jean-Marc, Stiegler Bernard, Jean-Marc Cerino : Dépositions III, 2006. Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 000020064 709.2 CER Livre Bibliothèque de l'Esban Artistes Disponible De la misère symbolique, 1. L'époque hyperindustrielle / Bernard Stiegler (2004)
Titre de série : De la misère symbolique, 1 Titre : L'époque hyperindustrielle Type de document : livre Auteurs : Bernard Stiegler, Auteur Editeur : Paris : Galilée Année de publication : 2004 Collection : Collection Incises, ISSN 1242-8434 Importance : 193 p. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-7186-0635-5 Prix : 26 EUR Langues : Français (fre) Catégories : Arts et politique ; Civilisation ; Esthétique ; Individu et société ; Philosophie ; Société de consommation Index. décimale : 100 Essais Résumé : « Cet ouvrage est la poursuite d’une réflexion sur la destruction du narcissisme primordial qui a résulté de la canalisation de la libido des consommateurs vers les objets de la consommation, dont l’auteur a entamé l’analyse dans Aimer, s’aimer, nous aimer. Du 11 septembre au 21 avril, paru en 2003.
Notre époque se caractérise comme prise de contrôle du symbolique par la technologie industrielle, où l’esthétique est devenue à la fois l’arme et le théâtre de la guerre économique. Il en résulte une misère où le conditionnement se substitue à l’expérience.
Cette misère est une honte, celle qu’éprouve parfois le philosophe comme “un des motifs les plus puissants de la philosophie, ce qui en fait forcément une philosophie politique” (Gilles Deleuze). La “honte d’être un homme” est suscitée d’abord, aujourd’hui, par cette misère symbolique telle que l’engendrent les “sociétés de contrôle”. À cet égard au moins, cet ouvrage en deux tomes est un commentaire du Post-scriptum aux sociétés de contrôle de Deleuze. Pour comprendre les tendances historiques qui ont conduit à la spécificité du temps présent, il tente d’ébaucher les concepts d’organologie générale et de généalogie du sensible. » B. S. sur http://www.editions-galilee.frPermalink : https://esbanimes.centredoc.fr/index.php?lvl=notice_display&id=3930
Stiegler Bernard, De la misère symbolique, 1. L'époque hyperindustrielle, Paris, Galilée, Coll. « Collection Incises », 2004.
Résumé : « Cet ouvrage est la poursuite d’une réflexion sur la destruction du narcissisme primordial qui a résulté de la canalisation de la libido des consommateurs vers les objets de la consommation, dont l’auteur a entamé l’analyse dans Aimer, s’aimer, nous aimer. Du 11 septembre au 21 avril, paru en 2003.
Notre époque se caractérise comme prise de contrôle du symbolique par la technologie industrielle, où l’esthétique est devenue à la fois l’arme et le théâtre de la guerre économique. Il en résulte une misère où le conditionnement se substitue à l’expérience.
Cette misère est une honte, celle qu’éprouve parfois le philosophe comme “un des motifs les plus puissants de la philosophie, ce qui en fait forcément une philosophie politique” (Gilles Deleuze). La “honte d’être un homme” est suscitée d’abord, aujourd’hui, par cette misère symbolique telle que l’engendrent les “sociétés de contrôle”. À cet égard au moins, cet ouvrage en deux tomes est un commentaire du Post-scriptum aux sociétés de contrôle de Deleuze. Pour comprendre les tendances historiques qui ont conduit à la spécificité du temps présent, il tente d’ébaucher les concepts d’organologie générale et de généalogie du sensible. » B. S. sur http://www.editions-galilee.frExemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 000003571 100 STI Livre Bibliothèque de l'Esban Culture générale Disponible De la misère symbolique, 2. La catastrophè du sensible / Bernard Stiegler (impr. 2005)
Titre de série : De la misère symbolique, 2 Titre : La catastrophè du sensible Type de document : livre Auteurs : Bernard Stiegler, Auteur Editeur : Paris : Galilée Année de publication : impr. 2005 Collection : Collection Incises, ISSN 1242-8434 Importance : 1 vol. (286 p.) Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-7186-0634-7 Prix : 30 EUR Langues : Français (fre) Catégories : Arts -- Aspect social ; Arts et politique ; Civilisation ; Esthétique ; Individu et société ; Philosophie Index. décimale : 100 Essais Résumé : "L'artiste est une figure exemplaire de l’individuation psychique et collective, telle qu’un je n’est qu’au sein d’un nous, et telle qu’un nous est constitué à la fois par le potentiel sursaturé et tendu du fonds pré-individuel que suppose ce processus, et par des dia-chronies en quoi consistent les je à travers lesquels il se forme.
Ce processus est un flux lui-même constitué de tourbillons : les tourbillons sont des flux en spirales formant au sein du flux des contre-courants sans fin. Ces contre-courants reconduisent cependant au courant par leurs courbures singulières, et sont ainsi – à contre-courant – la réalité du courant dominant. Un artiste est un tourbillon d’un type particulier dans ce flux : il est investi d’une tâche dans la préparation du fonds pré-individuel des je et des nous à venir. Et, en même temps, il est un opérateur de trans-individuation du pré-individuel disponible : il crée des œuvres, c’est-à-dire des artefacts, qui ont pour caractéristique d’ouvrir l’à-venir comme singularité de l’indéterminé par un accès au refoulé qui trame la puissance de ce qu’Aristote nommait l’âme noétique, et comme sa possibilité – qui n’est que par intermittences – de passer à l’acte. C’est un accès au sauvage.
Le sauvage, comme double tendance d’un fonds pulsionnel liable, est ce que le désir sublimé apprivoise mais ne domestique pas. Et le sauvage, non sublimé, retourne à sa pure sauvagerie. L’art, et l’esprit où il advient, sont les noms de cette sublimation, et ils sont aujourd’hui gravement menacés. Ce qui signifie que le sauvage brut est partout menaçant.
Ce livre présente le projet d’une organologie générale et d’une généalogie du sensible – en vue de penser ultimement la sauvagerie de notre temps. Il poursuit l’analyse qui a été avancée dans des ouvrages antérieurs de l’économie libidinale propre au capitalisme hyperindustriel, principalement à travers la question de l’art, comme liquidation de l’économie de la sublimation sous toutes ses formes.
Il s’agit de fourbir des armes : de faire d’un réseau de questions un arsenal de concepts, en vue de mener une lutte. Le combat à mener contre ce qui, dans le capitalisme, conduit à sa propre destruction, et à la nôtre avec lui, constitue une guerre esthétique. Elle-même s’inscrit dans une lutte contre un processus qui n’est rien de moins que la tentative de liquider la “valeur esprit”, comme disait Valéry." [http://www.editions-galilee.fr]Note de contenu : Sommaire :
A l'aventure, avertissement au lecteur
Prologue avec récitants : Le tournant machinique de la sensibilité et le privilège de la musique
I. Participer pour sentir ou l'art de passer à l'acte
II. Appareiller : à partir de Warhol et de Beuys
III. Nous tous : l'individuation comme trans-formation et la trans-formation comme sculpture sociale
IV. Le refoulement de Freud, où le vif se saisit du mort et réciproquement
V. La conjonction qui disjoncte. Mais où est donc Ornicar ?Permalink : https://esbanimes.centredoc.fr/index.php?lvl=notice_display&id=3934
Stiegler Bernard, De la misère symbolique, 2. La catastrophè du sensible, Paris, Galilée, Coll. « Collection Incises », impr. 2005.
Résumé : "L'artiste est une figure exemplaire de l’individuation psychique et collective, telle qu’un je n’est qu’au sein d’un nous, et telle qu’un nous est constitué à la fois par le potentiel sursaturé et tendu du fonds pré-individuel que suppose ce processus, et par des dia-chronies en quoi consistent les je à travers lesquels il se forme.
Ce processus est un flux lui-même constitué de tourbillons : les tourbillons sont des flux en spirales formant au sein du flux des contre-courants sans fin. Ces contre-courants reconduisent cependant au courant par leurs courbures singulières, et sont ainsi – à contre-courant – la réalité du courant dominant. Un artiste est un tourbillon d’un type particulier dans ce flux : il est investi d’une tâche dans la préparation du fonds pré-individuel des je et des nous à venir. Et, en même temps, il est un opérateur de trans-individuation du pré-individuel disponible : il crée des œuvres, c’est-à-dire des artefacts, qui ont pour caractéristique d’ouvrir l’à-venir comme singularité de l’indéterminé par un accès au refoulé qui trame la puissance de ce qu’Aristote nommait l’âme noétique, et comme sa possibilité – qui n’est que par intermittences – de passer à l’acte. C’est un accès au sauvage.
Le sauvage, comme double tendance d’un fonds pulsionnel liable, est ce que le désir sublimé apprivoise mais ne domestique pas. Et le sauvage, non sublimé, retourne à sa pure sauvagerie. L’art, et l’esprit où il advient, sont les noms de cette sublimation, et ils sont aujourd’hui gravement menacés. Ce qui signifie que le sauvage brut est partout menaçant.
Ce livre présente le projet d’une organologie générale et d’une généalogie du sensible – en vue de penser ultimement la sauvagerie de notre temps. Il poursuit l’analyse qui a été avancée dans des ouvrages antérieurs de l’économie libidinale propre au capitalisme hyperindustriel, principalement à travers la question de l’art, comme liquidation de l’économie de la sublimation sous toutes ses formes.
Il s’agit de fourbir des armes : de faire d’un réseau de questions un arsenal de concepts, en vue de mener une lutte. Le combat à mener contre ce qui, dans le capitalisme, conduit à sa propre destruction, et à la nôtre avec lui, constitue une guerre esthétique. Elle-même s’inscrit dans une lutte contre un processus qui n’est rien de moins que la tentative de liquider la “valeur esprit”, comme disait Valéry." [http://www.editions-galilee.fr]Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 000003540 100 STI Livre Bibliothèque de l'Esban Culture générale Disponible